Den Azalee

Den Azalee et Oxfam : “Oxfam est une grande valeur ajoutée pour nous et nous soutient dans notre message fondamental.”

Depuis 2009, l'entreprise de sur-mesure Den Azalee travaille en collaboration avec Oxfam Fair Trade. L’organisation a différents sites et sur chacun d’eux, le personnel comme les clients peuvent boire du café Oxfam. Dans leurs restaurants, ils servent du vin, du mousseux et du café BIO décaf. “En tant que grande entreprise, nous ne pouvons que recommander une collaboration avec Oxfam Fair Trade”, affirme Mady Verlaeckt, chef d’équipe. “Pas seulement pour l’excellent service et la qualité dont on bénéficie mais aussi pour l’aspect durabilité de ce partenariat.”

Depuis 2009, l’entreprise de sur-mesure Den Azalee travaille en collaboration avec Oxfam Fair Trade. L’organisation a différents sites et sur chacun d’eux, le personnel comme les clients peuvent boire du café Oxfam. Dans leurs restaurants, ils servent du vin, du mousseux et du café BIO décaf. “En tant que grande entreprise, nous ne pouvons que recommander une collaboration avec Oxfam Fair Trade”, affirme Mady Verlaeckt, chef d’équipe. “Pas seulement pour l’excellent service et la qualité dont on bénéficie mais aussi pour l’aspect durabilité de ce partenariat.”

Den Azalee a commencé de façon modeste ses activités à Sint-Niklaas en 1995, avec six personnes dans un centre de récupération et un atelier de repassage. Aujourd’hui, cette organisation à vocation sociale compte trois magasins de seconde main, un restaurant social, un point vélo… et plus de 300 collaborateurs.

Son directeur actuel, Peter Maris, faisait déjà partie de l’aventure en 1995 et a contribué à son lancement. Le CPAS de Sint-Niklaas voulait démarrer un projet visant un créer des emplois pour les personnes en difficulté professionnelle. Un employeur modeste mais ambitieux venait de voir le jour au sein de l’économie sociale. Ambitieux à quel point ? Mady Verlaeckt : “Durant nos 2 premières années d’existence, nous avons collecté 150 tonnes d’objets et vêtements à recycler ou transformer. On les transportait à la brouette. Aujourd’hui, nous tournons à plus de 3.000 tonnes, dont 50% sont réutilisés et 44% sont recyclés en matières premières réutilisables.”

Aujourd’hui, nous donnons à 325 personnes un job rémunéré et qui a du sens : dans un de nos trois magasins de seconde main, dans le restaurant social qui accueille chaque jour une centaine de personnes pour un repas abordable, dans le point (de réparation) vélo ou dans le service ‘bricolage’ qui isole les toitures, rénove les habitations et bien plus encore. Environ 250 d’entre eux étaient sans emploi depuis très longtemps. Ces personnes ont désormais un travail rémunéré et suivent une formation, ce qui améliore leurs chances de passer de l’économie sociale à l’économie ‘classique’. Elles sont soutenues par une trentaine de bénévoles motivés.

Oxfam et Den Azalee : lutte commune pour un revenu décent

Mady : “La vision et la mission de Den Azalee sont on ne peut plus claires : donner un avenir à l’Homme et à l’environnement. Travailler est un droit fondamental pour toute personne qui le souhaite. C’est pourquoi nous développons des activités régionales ciblées et une politique d’emploi basée sur un entrepreneuriat durable, soucieux de l’environnement et éthiquement responsable. Les personnes avec un revenu d’intégration ne ‘vivent’ pas vraiment. Car si vous en doutiez encore : avec un revenu d’intégration, vous êtres sous le seuil de pauvreté.” Sur ce point, Den Azalee rejoint pleinement Oxfam. Nous aussi, nous plaidons pour un revenu décent, ici comme dans les pays lointains, où se trouvent par exemple les producteurs de notre cacao et de notre café.

Mady confirme : “Il est évident que nous aimons retrouver notre vision et notre mission dans les organisations avec lesquelles nous travaillons, c’est pour ça qu’Oxfam nous convient si bien. Oxfam est, entre autres, synonyme de commerce équitable. Le commerce équitable, c’est lutter contre l’injustice et la pauvreté, deux valeurs qui nous tiennent particulièrement à cœur chez Den Azalee.”

Café Oxfam pour tout le monde : les plus de 300 collaborateurs et tous les clients

Depuis plus de 10 ans déjà, Den Azalee fait appel à Oxfam Fair Trade pour son café, dans l’ensemble de ses infrastructures. Dans la cafétéria du personnel et dans les cafétérias des magasins de seconde main de Sint-Niklaas, Temse et Sint-Gillis-Waas. Qui apprécie tout particulièrement ce café ? Les clients et les collaborateurs du restaurant social et du Bistro De Variant. Mady poursuit : “Le café est très apprécié. De même que le vin ou le mousseux d’Oxfam ! Et quand nous avons quelque chose à fêter, c’est avec des cadeaux de chez Oxfam-Wereldwinkels.”

“Je ne peux que recommander de travailler avec eux”, ajoute-t-elle. “À Sint-Niklaas, les entrepreneurs sont de plus en plus nombreux à faire de la durabilité une priorité dans leur culture d’entreprise. Une collaboration avec Oxfam ne peut que consolider cet engagement.”

ADN jumeaux

Den Azalee peut sans arrogance se considérer comme une entreprise qui donne le bon exemple. Elle coche plusieurs cases d’une politique durable : au sein du secteur du réemploi et de l’entrepreneuriat circulaire, de l’environnement et de l’économie sociale pour l’emploi. Cet ADN si particulier à Den Azalee se retrouve dans celui d’Oxfam, estime Mady. “Ce qui fait qu’Oxfam est une grande valeur ajoutée pour nous et soutient notre organisation dans son message fondamental.”

En 2021, on peut améliorer les choses !

Mady place beaucoup d’espoir dans l’année à venir. Elle a un message clair de sa part et de la part de toute l’équipe de Den Azalee : “Aujourd’hui, le recyclage, c’est plus que quelques bonnes résolutions en début d’année. C’est devenu un mode de vie. La seconde main, c’est le premier choix à faire. Ou du moins, ça devrait l’être. Pas seulement pour le portemonnaie mais aussi pour vivre et bouger, pour faire de la place dans votre tête. Quand on recycle, on est gagnant, c’est notre devise. Qui en sort gagnant ? L’environnement mais aussi les gens qui doivent vivre avec moins. Donc en définitive, nous sommes tous gagnants. Car les choix que nous faisons aujourd’hui sont décisifs pour le monde de demain.