Faites de Pâques une fête équitable

Les cloches sont déjà en route pour apporter de délicieux œufs dans vos jardins ou sur vos balcons. À moins que chez vous, ce soit le lapin qui s’en charge ? La seule certitude, c’est qu’ils seront en chocolat. Mais vous êtes-vous déjà posé la question de sa provenance ? Nos lapins en chocolat et notre chocolat « Bite to Fight », eux, sont 100% bio. Mieux, les cacaoculteurs et cacaocultrices qui récoltent le cacao nécessaire à leur fabrication sont payé.e.s dignement. De quoi rendre nos chocolats encore plus savoureux.

Les cloches sont déjà en route pour apporter de délicieux œufs dans vos jardins ou sur vos balcons. À moins que chez vous, ce soit le lapin qui s’en charge ? La seule certitude, c’est qu’ils seront en chocolat. Mais vous êtes-vous déjà posé la question de sa provenance ? Nos lapins en chocolat et notre chocolat « Bite to Fight », eux, sont 100% bio. Mieux, les cacaoculteurs et cacaocultrices qui récoltent le cacao nécessaire à leur fabrication sont payé.e.s dignement. De quoi rendre nos chocolats encore plus savoureux.

Un combat nécessaire

Vous l’avez certainement ressenti, le coût de la vie a beaucoup augmenté. Ce fut aussi le cas dans les pays producteurs de cacao, comme la Côté d’Ivoire et le Ghana. Ce qui n’est pas sans conséquences pour les cacaoculteurs et cacaocultrices dont les revenus sont déjà très bas et dont la majorité vit encore sous le seuil de pauvreté. Pourtant, un salaire décent est un droit humain.

Si les producteur.trice.s ne peuvent s’extraire de la pauvreté, c’est parce que le prix du cacao payé par les industriels est beaucoup trop bas. Par conséquent, les familles qui travaillent dans la culture du cacao ne peuvent envoyer leurs enfants à l’école, ces derniers ont dès lors peu de chance de s’extraire de la pauvreté à l’âge adulte.

Le projet « Bite to Fight » tente d’inverser la donne. Il offre une prime supplémentaire permettant aux producteurs et productrices de vivre plus décemment et de s’extraire de la pauvreté. Privilégier le chocolat « Bite to Fight », c’est se battre pour un revenu décent dans les pays du Sud global. Notre chocolat, bénéfique pour le bien-être des producteurs et des productrices ? Check !

Un chocolat bénéfique pour la planète

Tout le monde (ou presque) en conviendra : le chocolat, c’est délicieux. Mais il peut aussi avoir un arrière-goût amer. En effet, la culture du cacao est encore synonyme de déforestation. Lorsque les prix du cacao baissent et que les rendements chutent, des hectares de forêts sont souvent rasés pour faire place à des champs de cacaoyers, et ainsi augmenter la production à court terme.

Pourtant, il est tout à fait possible d’augmenter les rendements en plantant des jeunes cacaoyers à proximité des plus anciens, sans avoir recours à la déforestation, si des techniques agroécologiques sont appliquées. En effet, en se concentrant sur la diversité des cultures et en misant sur la préservation des sols sains et riches, sans substances nocives telles que les pesticides, l’agroécologie à elle seule augmente la productivité des cultures. Cette pratique est largement pratiquée par les cacaoculteurs et cacaocultrices qui participent au projet « Bite to Fight ».

D’ailleurs, la préservation des arbres est récompensée par Bite to Fight. Ainsi, les producteur.trice.s reçoivent une prime supplémentaire si les forêts sont préservées. Notre chocolat, bénéfique pour la planète ? Double check !

Entre 1990 et 2015, 85 % des forêts ivoiriennes ont disparu. 30 % de cette déforestation est la conséquence directe de la culture du cacao. 

Mighty Earth, 2017

Croquez dans notre chocolat Bite to Fight à pleines dents

Achetez notre chocolat Bite to Fight et rejoignez la lutte pour un revenu décent et la conservation des forêts !

Qu’est-ce que l’agroécologie

Ce mode d’exploitation agricole respectueux du climat repose sur 3 piliers. Tout d’abord, la conservation des sols. Grâce au paillage, qui consiste à recouvrir le sol de résidus végétaux riches en nutriments, le sol devient une éponge et capte mieux les eaux de pluie. Les arbres d’ombrage constituent un deuxième élément. Ces arbres protègent les plantations du soleil brûlant ainsi que des fortes pluies. Cela crée un microclimat et stabilise les températures. Le troisième pilier est la préservation de la biodiversité. Le fait d’avoir recours à plusieurs sortes d’arbres permet de réduire les maladies et d’éloigner les parasites qui s’attaquent aux arbustes. Certains arbres agissent même comme des insecticides naturels !

Kivu – Minova – RDC Congo – 2020 © Eric de Mildt. All rights reserved. eric.demildt@skynet.be